Toxicologie Chimie
Bilan toxicologie/chimie, du chimiste André Picot, Président de l'ATC-Association Toxicologie Chimie.
"Rapport Picot" : dernière version, décembre 2012.
http://atctoxicologie.free.fr/archi/bibli/BILAN_TOXICOLOGIE%20_CHIMIE_GAZ_DE_SCHISTE.pdf
VERSION ANGLAISE TRADUITE par NO FRACKING FRANCE :
EXPLOITATION OF SHALE GAS AND SHALE OIL (PARENT ROCK HYDROCARBON) AND RISKS(Novembre 2011)
http://atctoxicologie.free.fr/archi/bibli/BILAN_TOXICOLOGIE_CHIMIE_GAZ_DE_SCHISTE_en.pdf
Les traductions :
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Polonaise
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Bulgare
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Allemande
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Espagnole
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Italienne
Sont en cours de Finalisation et de Relecture.
Une expertise scientifique indépendante et des conclusions très alarmistes avec notamment la présence dans les
fluides de fracturation, de produits génotoxiques, mutagènes.
André Picot nous explique le véritable « Réacteur chimique » souterrain et isolé de la surface, que représente en grande profondeur , cette injection d’eau, de sable et de produits chimiques. L’analyse qualitative témoigne de nombreux produits chimiques, neurotoxiques,
volatiles. Deux gènes selon lui, hautement toxiques et des plus nuisibles, d’un point de vue sanitaire : Le Chrome exavalent et le 4-NQO. Mutagènes, cancérogènes, (cavité buccalenotamment) , ont plus qu’attirés son attention : « C’est un non-sens absolu, que de trouver là, ces gènes, d’une dangerosité extrême, c’est ahurissant ! » André Picot.
Novembre 2011 , Grenoble, Université ; Présentation du Rapport Picot : * Bilan toxicologique et chimique sur l'exploration et l'exploitation des gaz de schistes (présentation en pdf - podcast) (Résumé de l'intervention)
André Picot, Président de l'ATC , Association Toxicologie-Chimie
9 DECEMBRE 2011 : L'EPA (Agence de Protection Environnementale Américaine) relâche un premier Draft Study Result (résultat d'étude préliminaire) qui fait un lien entre la fraturation hydraulique et la pollution des nappes phréatiques dans la région de Pavillon, Wyoming.
La fracturation hydraulique représenterait un danger pour les eaux souterraines selon un rapport préliminaire de l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA).
Cette méthode injecte à haute pression des fluides dans le sol afin de fracturer les roches et d'en extraire du gaz naturel .
Les chercheurs de l'EPA ont découvert des produits synthétiques associés à l'hydrofracturation dans les eaux souterraines de Pavillion, au Wyoming, un petit village dont les résidents se plaignent de mauvaises odeurs qui émanent de leurs puits.
Les scientifiques ont retrouvé parmi ces produits chimiques des concentrations de benzène qui dépassent les normes du Safe Drinking Water Act, le règlement portant sur la pollution des eaux potables aux États-Unis.
L'Agence américaine a depuis recommandé à ses résidents de ne pas boire l'eau du robinet ou de s'en servir pour faire la cuisine.
L'annonce de l'EPA a des implications importantes aux États-Unis et au Canada qui autorisent de plus en plus fréquemment la fracturation hydraulique, dont les moyens et les conséquences sont critiqués par plusieurs organismes environnementaux.
Une étude du Centre canadien de politiques alternatives soutient que l'hydrofracturation dans le Nord de la Colombie-Britannique serait une aussi grande menace pour les cours d'eau que celle représentée par les sables bitumineux en Alberta.
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